Le 24 octobre aura lieu une manifestation aux Sables d’Olonne pour demander une meilleure gestion des fourrières de Vendée. Elle est organisée par NALA et débutera à 14h.
« Manifestation au Sables d’Olonne
Le 24 Octobre 2015
à 14 heures
Et n’oubliez pas de signer la Pétition:
https://secure.avaaz.org/fr/petition/Le ... en_Vendee/
Pourquoi cette manifestation:
« Les élus vendéens ne semblent pas être intéressés aux problèmes quotidiens des animaux abandonnés. Il y en a qui choisit systématiquement de contracter avec une grande société, sans sembler chercher à connaître le devenir des animaux, et sans effectuer des contrôles durant l’exécution du contrat de délégation de service public.
De telle sorte que, par exemple, cette société a déclaré à la Communauté de communes des Olonnes l’enlèvement de 81 cadavres de chat pour l’année 2014, alors que pour la même année, le nombre est de 3 pour la Communauté de communes des Pays nés de la mer, en contrat avec une autre fourrière. Pourtant, à la lecture du bilan transmis aux élus, est-ce qu’on a demandé d’explications?
Ces chiffres, issus des statistiques rendues publiques par l’association NALA, en septembre 2015 :
http://www.nosamislesanimaux.com/statistiques-fourrières-chiens-et-chats.php
et la mort de 5 chatons certifiés en bonne santé par un vétérinaire, entrés en fourrière et décédés entre les murs de cette société ( https://www.facebook.com/events/397515173787694/ ) , prouvent que les citoyens et contribuables ont raison de se méfier de cette société. Cependant, les élus et les autorités ne veulent pas agir.
Nous savons que l’obligation pour les communes de posséder une fourrière animale a un coût pour les citoyens. Ce service public demande que les élus s’y intéressent, et c’est une mission qui s’ajoute à leurs nombreuses tâches. C’est pourquoi nous pensons qu’il est temps d’envisager l’organisation d’un SERVICE DE FOURRIERE INTERCOMMUNAL exerçant ses prérogatives sur l’ensemble du territoire départemental.
Sa gestion sous forme d’un syndicat intercommunal permettrait d’optimiser ce service sans peser trop lourd sur les communes. De plus, la mutualisation des coûts et l’absence de recherche de profits permettraient à chaque commune de dégager des fonds afin de soutenir et de développer les refuges présents sur son territoire par l’octroi de subventions.
Aujourd’hui, les coûts des fourrières privées, qui n’assurent pas la mission de mise à l’adoption des animaux trouvés, captent la totalité des fonds. Les installations et les structures existent en Vendée. Il faut maintenant la volonté politique.
Nous demandons au préfet d’initier très rapidement la création d’une COMMISSION autour de ce projet. Cette commission rassemblerait des représentants des services d’état, les élus des communes et des responsables d’associations de protection animale.
A chaque élection, il est question de démocratie directe.
Nous avons un dossier, nous avons des propositions pour assurer au mieux un service public payé avec nos impôts.
Nous demandons que notre projet soit mis en place. »
Événement Facebook : https://www.facebook.com/events/1048205385211962/